La décharge traite de 3000 à 5000 tons de déchets (dangereux) quotidiennement.
Il a été surnommé un hotspot cancer par la Cancer Association of South Africa. Malgré des appels répétés à la fermeture par 6000 membres de la communauté, le dépotoir a gagné un nouveau bail sur la vie lorsqu'il est devenu un projet pilote de MDC.
Il brûle du méthane toxique, un puissant gaz à effet de serre, en dioxyde de carbone et en électricité.
La Banque mondiale s'est initialement engagée à investir 14,4 millions de dollars pour couvrir le projet mis en place. Selon l'agence municipale de Durban Solid Waste, ce qui rend le projet qui en vaut la peine, c'est les revenus qu'ils gagnent des crédits de carbone, estimés à 3,1 millions de crédits d'émissions certifiés d'une valeur de 15 millions de dollars avec 6 à 8 mégawatts d'électricité sur une durée de vie de 20 ans. Initialement, on a supposé que le coût estimé à 100 millions de rands du projet ne serait pas justifié par la petite quantité d'électricité alimentée dans l'approvisionnement municipal de Durbans, et il devrait provenir de sources externes. Mais au moins un fonctionnaire concède maintenant que le projet aurait pris de l'avant sans crédits externes.
La Banque mondiale a aidé à mettre en place le projet, mais a refusé en 2005 d'acheter des crédits d'émissions en réponse à des préoccupations croissantes concernant les politiques racistes de l'environnement des Durbans et une évaluation de l'impact environnemental.
Fin 2006, l'agence de développement française a promis des prêts à long terme de 8 millions de dollars aux projets de gaz d'enfouissement de Durbans (Bisasar est de loin le plus grand des trois), ainsi que 1,3 million de dollars prolongés par le département du commerce et de l'industrie sud-afras.
En mars 2009, la municipalité l'a enregistrée sur la liste des projets des CDM des Nations Unies, comme active au moins 2014.
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